FRANCE COREE, c'était (espérait on) la répétition de la finale...

France / Corée était le dernier match de préparation de l'équipe de France avant le début de la coupe du monde. La fédération coréenne avait mis les places à 20 000 wons (un peu plus de 15 Euros).
Le stade était donc plein à craquer. Beaucoup d'étudiants et de familles... une vraie grosse fête.
Nous voilà rassurés, la coupe du monde va bel et bien apporter à la Corée une ambiance comme celle que nous avions connue en France en 98 (en fait, ça a même été beaucoup plus GRAND qu'en 98 mais ça, on ne le savait pas encore puisque la coupe du monde n'avait pas encore commencé).

L'avant match :

	Après la petite séance de maquillage, photo ! Histoire de conserver un souvenir. Le classique "Bleu Blanc Rouge" pour moi (c'était la première fois). Je peins aussi quelques drapeaux coréens (plus difficile !). Plein de photos avec des Coréens "impressionnés" par les maquillages et les banderolles des Français.
Une famille coréenne qui voulait être prise en photos avec un fou de supporter français. J'envoyai les photos par E-Mail par la suite... mais là, on était vraiment pressé et en plus j'espérais retrouver Eun-Jung une collègue à qui j'avais passé 2 places pour qu'elle puisse aller au match avec son copain (footeux).
Sous le drapeau francais pendant les hymnes. Là, ça y est, on est dans l'ambiance, à fond.

Première mi-temps :

"Et ils sont où ? ... les supporters francais". On entend sutout les "Red Devils" coréens. Je suis juste entre les supporters des deux camps (séparés seulement par un escalier, pas de grille...) L'équipe de France, joue en demie-teinte, on le sent mal ce match... Quelques frayeurs. ..tain, ils jouent bien ces Coréens... Attention... Oh non, pas Zidane... Mais tout cela dans une très bonne ambiance.
		Et les supporters Coréens, "Red devils" sont vraiment vraiment IMPRESSIONNANTS, fair play, heureux de se défouler, de faire la fête... un premier signe qui annonce la folie que va être la suite de la coupe du monde.

Deuxième mi-temps :

Les bleus reprennent un peu de couleurs (mais encore quelques frayeurs) Cette fois-ci, je suis descendu près de la barrière en bas des gradins

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